Discours de la servitude volontaire
Etienne de La Boétie
Etienne de La Boétie
C'est en comprenant les mécanismes de la tyrannie qu’on parvient à la vaincre.
Texte flamboyant, prophétique et emblématique, le Discours de la servitude volontaire, écrit par un jeune homme de 18 ans, reste énigmatique comme un diamant noir. Il servira tour à tour d’étendard et de référence aux calvinistes, aux révolutionnaires de 1789, aux anarchistes, aux résistants. Il reste aujourd’hui encore d’une terrible actualité. La méfiance qu’il préconise vis-à-vis de tous les pouvoirs nous interpelle. La célèbre « Soyez résolus de ne plus servir et vous voilà libres » n’a pas fini de résoner à nos oreilles comme une mise en garde ou un encouragement face à nos doutes, nos complaisances et peut-être nos lâchetés.
Né en 1530, mort de la peste à 32 ans, Etienne de La Boétie est une sorte de Rimbaud de la philosophie. Son amitié avec Montaigne est demeurée célèbre : « Parce que c’était lui, parce que c’était moi. »
Virulente dénonciation de la tyrannie, le Discours de la servitude volontaire porte un regard neuf sur la relation dominant-dominé, avec cette thèse originale : la puissance du tyran repose essentiellement sur le consentement populaire. Si le peuple refuse cette puissance, le pouvoir s’écroule. « Soyez résolus de ne plus servir et vous voilà libres ! »
Brandi comme un manifeste de la révolte à différentes périodes de l’histoire, le Discours de la servitude volontaire est bien plus qu’un pamphlet. C’est un livre non partisan, fondamentalement ouvert, un traité de philosophie politique. A ce titre, il fait d’abord ce que fait la philosophie : il pose des questions. C'est pourquoi il nous parle encore aujourd'hui.
Texte d'étonnement philosophique, Le Discours de la servitude volontaire est un mode d’emploi pour n’être pas dupe du pouvoir. C'est en comprenant les mécanismes de la tyrannie qu’on parvient à la vaincre.
"Discours de la servitude volontaire"
Texte d’Étienne de la Boétie (1549)
Adaptation et interprétation : Dominique Rongvaux
Collaboration artistique : Jean-Claude Idée
Lumières : Nicolas Fauchet
Né en 1530, mort de la peste à 32 ans, Etienne de La Boétie est une sorte de Rimbaud de la philosophie. Son amitié avec Montaigne est demeurée célèbre : « Parce que c’était lui, parce que c’était moi. »
Virulente dénonciation de la tyrannie, le Discours de la servitude volontaire porte un regard neuf sur la relation dominant-dominé, avec cette thèse originale : la puissance du tyran repose essentiellement sur le consentement populaire. Si le peuple refuse cette puissance, le pouvoir s’écroule. « Soyez résolus de ne plus servir et vous voilà libres ! »
Brandi comme un manifeste de la révolte à différentes périodes de l’histoire, le Discours de la servitude volontaire est bien plus qu’un pamphlet. C’est un livre non partisan, fondamentalement ouvert, un traité de philosophie politique. A ce titre, il fait d’abord ce que fait la philosophie : il pose des questions. C'est pourquoi il nous parle encore aujourd'hui.
Texte d'étonnement philosophique, Le Discours de la servitude volontaire est un mode d’emploi pour n’être pas dupe du pouvoir. C'est en comprenant les mécanismes de la tyrannie qu’on parvient à la vaincre.
"Discours de la servitude volontaire"
Texte d’Étienne de la Boétie (1549)
Adaptation et interprétation : Dominique Rongvaux
Collaboration artistique : Jean-Claude Idée
Lumières : Nicolas Fauchet
Dates de tournée :
* le vendredi 22 septembre 2016 au Centre culturel de Bertrix.
* le vendredi 16 décembre 2016 à la Cité Miroir à Liège.
* le samedi 14 janvier à 18h30 à la Comédie Claude Volter à Bruxelles.
* le vendredi 20 janvier à 18h30 à la Comédie Claude Volter à Bruxelles.
* le mercredi 25 janvier 2017 à 20h00 à la Salle Robert Schuman à Attert.
* le vendredi 22 septembre 2016 au Centre culturel de Bertrix.
* le vendredi 16 décembre 2016 à la Cité Miroir à Liège.
* le samedi 14 janvier à 18h30 à la Comédie Claude Volter à Bruxelles.
* le vendredi 20 janvier à 18h30 à la Comédie Claude Volter à Bruxelles.
* le mercredi 25 janvier 2017 à 20h00 à la Salle Robert Schuman à Attert.